En partie détruite aujourd'hui, cette chapelle romane abrite des peintures murales du XIVe siècle. Selon la légende, un chevalier revenant de terre sainte et tombant épuisé à cet endroit, fut soigné par un ermite nommé Guillaume. À sa guérison, il fit voeu d'ériger une chapelle en ce lieu. Petit édifice à nef unique, choeur et abside semi-circulaire. La nef ruinée ne conserve plus que ses murs latéraux et sa façade occidentale qui s'ouvre par un portail sculpté du XIIe siècle. Le choeur, refermé par un mur moderne, conserve des vestiges de peintures murales : Christ en majesté entouré d'animaux symboliques ; Vierge allaitant sur un fond de semis de rosettes. Classée aux Monuments Historiques. Intérieur non accessible